MON AGENDA DE LA PLÉİADE
(2017)

14/04

« Voyage c’est se déshabituer. C’est aussi aller à la recherche d’une partie perdue de nous-même, tellement perdue qu’on ne saurait dire en quoi elle consiste… » (Olivier Rolin, Baïkal-Amour, Paulsen).
Avec un peu de pot et si elle ne tient pas trop l’alcool (prévoir une douzaine d’huîtres de chez Dupuch et un Graves blanc pas trop cher… n’allez pas faire des frais non plus, si ça se trouve, elle ne suce pas), c’est le genre de phrase qui peut vous permettre de baiser une journaliste un peu mûre au bord du Bassin d’Arcachon.
Si vous n’avez pas de critique sous la main et si vous la relisez, ce sera pour vous rendre compte qu’elle veut à peu près rien dire, c’est pour cela qu’Elisabeth Barillé du Figaro Madame l’a retenue.
Ecrire, c’est aller à la recherche d’une partie oubliée de vous-même, tellement oubliée que vous ne vous en souvenez plus… ainsi de suite !

12/04

Le grand Busnel a fondé une revue… America, ça s’appelle ! Evidemment, tous ceux et toutes celles qui veulent être invités par le grand Busnel en disent beaucoup de bien… elle est à l’image du grand Busnel (ou du petit Macron), intégralement creuse avec un petit goût de tapioca attaché au fond de la casserole. Toni Morrison y a donné un « grand entretien » de style pneumatique, il doit exister un syndrôme Nobel (pourvu qu’il ne touche pas Svetlana Alexevitch), cette brave dame dont je me souviens avoir lu de bons livres n’en écrit plus que des médiocres et pour le reste  déroule un discours aussi tenu qu’un Marshmalllow. Elle prévient d’entrée qu’elle ne va pas « racialiser » son discours pour le « racialiser » immédiatement et tout au long de son entretien avec le grand Busnel qui relance chaque fois à des années lumière l’Oreo oublié dans le placard  : « Avez-vous été surprise par le résultat de cette élection ? », « Dans quelle famille avez-vous grandi ? », « Quels sont les livres qui vous ont marquée ? », « Quelle difficultés avez-vous rencontrées ? », « Pourquoi écrivez-vous ? », « Qui est à vos yeux le plus grand des écrivains ? », « L’écrivain a-t-il une responsabilité ? », « Que peut la littérature ? », « Et maintenant, qu’est ce qu’on fait ? » A mon avis, vous devriez aller vous coucher ! A un moment donné, la pythie déclare qu’elle trouve le drapeau américain du plus mauvais goût (Paul Morand avait plus justement noté qu’il était particulièrement « décoratif »)… « Trop de rayures ! Trop d’étoiles ! », qu’on le lui remplace  par le drapeau de l’Union d’un bien meilleur goût (moins d’étoiles, moins de rayures) et qu’elle nous foute la paix !
Pour compléter le ratapouf, on a droit à un dithyrambe de Ta-Nehisi Coates… « My President Was Black », à la rengaine ordinaire sur les Indiens (Dakota ! Nakota ! Lakota !) de Louise Eldrich… Bourre et bourre et ratatam ! Avec des analystes critiques de cette envergure, le Donald peut dormir sur ses deux oreilles.
Cadeau Bonux : une nouvelle de Francis Scott Fitzgerald qui aurait bien fait de rester inédite.
Tout le tintouin fait à propos de ce recueil de nouvelles inédites qui sentent la naphtaline, le boa qui perd ses plumes et le gin éventé (Je me tuerais pour vous, Fayard-Grasset) m’a permis de me rendre compte que Scott avait le même profil que Gene Tunney. C’est toujours ça de pris sur l’ennemi.

Pour faire le pendant à ce premier numéro d’une revue comme on aimerait en lire plus souvent, le dernier numéro d’un « magazine de sport à lire avec un marque-pages » : Desports.
Je ne vais pas m’éterniser, mais j’ai particulièrement apprécié « Pour une bibliothèque idéale, les 100 livres sportifs indispensables » d’après Benoît Heimermann soutenu en la circonstance par « les lumières d’Adrien Bosc, Bernard Chambaz et Luc Follet ».
Dans les auteurs francophones, on relève : Jean Echenoz (Courir), Antoine Blondin (Tours de France : Chroniques de « L’Equipe », 1954 – 1982) ; Yves Gibeau (La ligne droite) ; Bernard Moitessier ( La longue route : seul entre mers et ciels) ; Jean Prévost (Plaisirs des sports : Essais sur le corps) ; Georges Haldas (La légende du football) ; Albert Londres (Les forçats de la route) ; Philippe Bordas (Forcenés) ; Philippe Delerm (La tranchée d’Arenberg et autres voluptés sportives) ; Henry de Montherlant (Les Olympiques) ; Paul Fournel (Anquetil tout seul : récit) ; Laurent Mauvignier (Dans la foule) ; Paul Morand (Ouvert la nuit) ; Eduardo Arroyo (Panama Al Brown) ; Dominique Braga (5 000) ; Vincent Duluc (Le Cinquième Beatles) ; Vladimir Dimitriejevic (La vie est un ballon rond) ; Denis Lalanne (Le temps des Boni) ; Philippe Brunel (Vie et mort de Marco Pantani) ; Serge Daney (L’amateur de tennis : Critiques 1980 – 1990) ; Rachid Boujedra (Le vainqueur de coupe) ; Louis Nucera (Le Roi René) ; Philippe Guillard (Petits bruits de couloir) ; Bernard Morlino (Manchester Memories) ; David Fauquenberg (Mal Tiempo) ; Roger Vailland (325 000 francs) ; Olivier de Kersauzon et Jean Noli (Fortune de mer) ; Jean Louis Crimon (Verlaine avant-centre) ; Denis Grozdanovitch (De l’art de prendre la balle au bond : Précis de mécanique gestuelle et spirituelle) ; Tristan Bernard (Nicolas Bergère) ; François Thébaud (Pelé : une vie, le football et le monde) ; Raymond Pointu (42, 195 km) ; Lola Lafon (La petite communiste qui ne souriait jamais) ; Jacques Perret (Articles de sport) ; Georges Magnane (Les hommes forts) ; Tristan Garcia (En l’absence de classement final) : Pierre-Louis Basse (Séville 82 France – Allemagne : le match du siècle) ; Claude Meunier (Ring noir : quand Apollinaire, Cendrars et Picabia déouvraient les boxeurs nègres) Denis Tillinac (Rugby Blues) ; Olivier Guez (Eloge de l’esquive) ; Jean-Philippe Domecq (Ce que nous dit la vitesse) ; Daniel de Roulet (Esthétique de la course à pied) ; Pierre Bourgeade (Le football c’est la guerre poursuivie par d’autres moyens) ; Jean Lacouture (Le rugby, c’est un monde : chroniques) ; René Fallet (Le vélo) ; Bernard Chambaz (A tombeau ouvert).
Je ne sais pas pourquoi, cela m’a fait penser qu’il y a longtemps (le 11.08.1999), j’avais écrit à Benoît Heimermann, à l’époque employé de l’Equipe-Magazine.

Benoît Heimermann,

Je vous remercie du compte-rendu de mon « Mike Tyson, un cauchemar américain » que vous avez publié dans l’Equipe-Magazine.
    Comme il me semble que ce compte-rendu mérite que l’on y revienne, je me permettrai de vous faire quelques remarques (trop longues) à son sujet.
    Le reproche principal que vous faites à ce livre est celui de « plaider » une cause « indéfendable ». Il me semble, justement, qu’en l’occurrence je ne plaide aucune cause, que je tente, seulement, de donner à mon lecteur tous les éléments ; à lui, s’il le désire, de juger que Mike Tyson est une victime ou un parfait salopard. Pensez-vous, vraiment, que je « vole au secours du coupable », que  j’ « excuse ses errements », que je « plaide ses inconséquences » alors qu’au contraire j’expose clairement ces errements et ces inconséquences, davantage même que mes confrères ne l’ont fait jusqu’à présent ?
    Il me semble que : soit mon livre est totalement raté (ce que, modestement, je ne pense pas), soit il peut, en la circonstance, donner lieu au même genre d’aveuglement que celui auquel je me suis trouvé confronté lorsque j’ai essayé (en vain) de faire publier les circonstances exactes de : « l’affaire Washington » dans tous les journaux qui, à l’époque, dénonçaient pêle-mêle cette petite salope et la justice américaine (forcément raciste… la nôtre ne l’étant pas, cela se vérifie tous les jours !) et faisaient de Tyson une victime et un martyr. Cette version des faits est encore colportée, lorsque notre collègue de Libération résumera la carrière de Tyson avant son combat contre Botha, il écrira que Desiree avait rejoint Mike dans sa chambre à quatre heures du matin en petite tenue. Ce qui, non seulement, est faux, mais parfaitement dégueulasse. Ne me dites pas que les circonstances exactes de cette affaire n’étaient pas connues, je les connaissais depuis plusieurs années et je ne suis pas le spécialiste « Boxe » d’un prestigieux quotidien dont le métier devrait être d’enquêter un tant soit peu et de ne pas affirmer n’importe quoi. C’est toujours cette version que, hier encore, avançait Monsieur André Rauch, universitaire prestigieux après la lecture de mon livre, preuve qu’il ne l’a pas lu (ou mal) ou qu’il est plus important pour lui de continuer à croire que les femmes sont, forcément, des salopes.
    On pourrait, pour le coup, s’offrir un peu de morale à bon compte !
    Tous ceux qui écrivent pour mystifier l’opinion ont besoin que les sportifs soient des héros ou des enfoirés (cf les jugements moralisateurs d’aujourd’hui sur « les dopés »). Je ne partage pas cette opinion et je ne pratique pas ce genre d’écriture où la morale (celle de l’auteur, mais surtout celle des puissants qui les emploient) badigeonne la réalité d’un enduit ignoble. Si j’avais été juré au procès de Mike Tyson, j’aurai voté « coupable » sans hésitation (je suis donc loin d’absoudre Tyson de ses fautes), en tant qu’écrivain je n’ai pas à le faire et je ne l’ai pas fait. En revanche, je me suis appliqué, lorsque c’était nécessaire et dans la mesure de ce que je sais de lui, à expliquer le pourquoi de son comportement ; attaché aussi à ne pas le retrancher de la communauté des vivants (comme Mailer l’a fait de Gary Gilmore dans « Le chant du bourreau » ou Truman Capote de Dick et Perry dans « De sang-froid » qui étaient des causes autrement indéfendables que celle de Tyson. Je ne cite pas ces deux auteurs au hasard, ils ont été mes modèles dans mon entreprise) et à insister sur sa dimension tragique : il ne s’est jamais appartenu comme tous les véritables héros de tragédie.
    Ce sont ceux qui l’ont adoré sans condition qui lui crachent à la gueule maintenant que cela est devenu possible et même recommandé. Si Tyson est un enfoiré, ceux qui l’ont construit, vendu, manipulé, idolâtré et ceux qui ont complaisamment relayé cette image, c’est quoi ?
    D’après votre objection il ressort que la littérature ne devrait s’intéresser qu’à rendre attachants des personnages qui le sont ou peuvent l’être (c’est qui d’ailleurs : le Père Goriot, cet avare, Emma Bovary, cette salope, Didier Deschamps, Guy Forget ?). C’est tout le contraire de la littérature. Tout au moins de celle que j’essaie de pratiquer. Lorsque l’on a choisi de le faire on a, hélas ! plus souvent les mains dans la merde que le nez dans les roses de l’hagiographie, mais c’est le métier qui veut ça..
    Bien à vous
 

Frédéric Roux

P.-S. : « Le combat du siècle » est le récit d’Ali/Foreman et non pas celui d’Ali/Frazier.

Ce qui est amusant (plus que le reste), c’est que, vingt ans plus tard ou presque, Benoit Heimermann, par ailleurs auteur d’un remarquable Les combats de Muhammad Ali au Castor astral (dont on se demande bien pourquoi il ne figure pas dans cette liste remarquable) et d’un non moins remarquable article : « Bernard Moitessier à la cantine de l’Equipe », classe Le combat du siècle sur la plus haute marche du podium. Si ça se trouve, il l’a lu depuis.

07/04

Les écrivains ne m’intéressent pas (je ne les intéresse pas davantage), ne parlons pas des lecteurs (ils me le rendent bien) ; je ne fais partie d’aucune clique ; je n’ai pas l’occasion de refuser de participer à des débats à la con (on ne me le demande pas) ; on ne peut pas dire que j’encombre le devant de la scène (ni les coulisses) ; lorsque je me considère, je suis plutôt modeste (mais, vu le niveau, personne ne me fait peur pour autant) ; je suis à peu près persuadé que la « littérature » est une aventure terminée, pourtant, c’est bizarre, si écrire m’est toujours aussi pénible, ce que j’écris m’intéresse davantage qu’auparavant, je me demande même si je ne vais pas avoir, bientôt, le courage d’écrire une très bon livre sans me préoccuper d’autre chose que d’écrire un très bon livre. Ça va faire chier un paquet de cons !

05/04

A quel sens, la littérature s’adresse ?

L’auteur jeûne, le critique déjeune
L’auteur travaille, le critique graille
L’auteur est maigre, le critique est aigre

17/03

J’adiore !


http://www.grazia.fr/article/ecrire-sur-la-mode-tout-un-art-847042

13/03

Amélie D, sans doute pour me faire plaisir (et je l’en remercie), m’a fait parvenir Gabacho d’Aura Xilonen (Liana Levi). C’est totalement illisible, j’ai mis trois semaines à le finir. Ce n’est pas  grave, la jeune fille est très jeune (et plutôt jolie), si ça se trouve, un jour, elle écrira un meilleur livre. Le problème (si ce n’est, comme presque toujours, celui des adjectifs et de la traduction), c’est la réception critique : Didier Jacob parle tout de même d’un livre qui, aurait empêché Céline d’écrire s’il l’avait lu avant de commencer le Voyage au bout de la nuit !
Comment désormais faire confiance à Didier Jacob.

En réponse aux propos odieux tenus hier sur ce site

12/03

En bagnole, la femme est la moitié de l’homme

300 SL

XK 150

En fait, je crois que c’est une 140,
ce qui voudrait dire que la femme est un peu moins de la moitié de l’homme

A ma connaissance, La Mécanique des femmes de Louis Calaferte est seul livre qui parle de sexe sans être cul-cul (la praline).

En travaillant sur l’entrée Randall « Tex » Cobb de Mille et une reprises, je me suis rendu compte qu’il était l’ami qui avait sauvé la vie de Pete Dexter et je me suis souvenu que Spooner était un livre très recommandable et Pete Dexter assez sous-estimé.
Tex Cobb, lui, est formidable.

Ceux qui font rarement ce qu’ils font tout le temps.

Celles qui ne sont vraiment pas douées, mais qui s’acharnent (et finissent par le faire oublier pour peu qu’elles soient jolies… les moches, c’est duraille ! vaut mieux qu’elles soient bonnes).

Je crois que c’est un exemple de ce qui précède
(enfin, je n’en suis pas sûr),
mais je ne me souviens plus de comment elle s’appelle

11/03

NO FUTURE !

Masterclass Jean Rolin

Il y a des gens, il ne vous parlent plus une fois qu’ils ont lu ce que vous écriviez, on se demande bien pourquoi ils le faisaient avant.

Les bons écrivains s’y connaissent en bagnoles

09/03

« Je m’inquiétais surtout pour Yasmine qui est si gentille ». Lorsque je saurai écrire des phrases aussi parfaites, je serai sauvé.

13/02

Jamais deux sans trois

10/02

Je m’inscris et à soixante-dix ans,
je saurai, enfin, ce que je fabrique
(et si je suis doué pour ça)

Feuilleté Les Républicains de Cécile Guilbert (Grasset), j’ai vaillamment supporté : « Je me retournai pour envisager le regard clair/me rétractant dans une coque de silence/grand pro des provocations stipendiés (Thierry Ardisson) qu’il ne pouvait s’empêcher de rafaler/l’égérie cathomophobe (Frigide Barjot)/l’hidalgo vindicatif dont chaque discours menton levé délivrait un déluge de béton (Manuel Valls, je suppose) ».
Comme il y a des limites à mon indulgence pour les diplômé(e)s de Sciences-Po, j’ai craqué à la quatrième ou cinquième page lorsque l’héroïne dit un truc tout « en pénétrant dans le véhicule ».
Faut quand même pas déconner ! Elle aurait pu s’introduire, comme il se doit, dans l’habitacle du véhicule. Tout ce que je regrette c’est qu’elle ne soit pas plus moderne et qu’elle n’ait pas pris l’aéroplane, elle aurait ainsi pu s’introduire dans sa carlingue.

Après que les Déménageurs bretons aient massacré tout ce qu’ils pouvaient, je retourne à mes brutes nègres.

Bon, et bien…
« Le secret le mieux gardé de la littérature américaine »
va rester secret

13/01

Ce qui est formidable c’est quand les écrivaines sont aussi folasses que leurs éditrices, situation de plus en plus courante, il est vrai. On est sûr ainsi qu’elles auront de la presse, en règle générale, ceux qui « donnent » les premiers dans le panneau sont les journalistes du sexe opposé qui voudraient bien les niquer, mais qui n’y arriveront pas… ils sont trop vieux, trop gros ou elles les trouvent un peu cons à moins qu’elles n’aiment pas leur odeur (elles trouvent qu’ils puent).

Des fois, j’ai l’impression de tomber comme une côte de bœuf dans un banquet vegan.

Des fois, on se dit que la littérature est une « industrie culturelle »
encadrée par des professionnels dont l’efficience ne peut être mise en doute


Ensuite, on consulte la liste des 10 livres les plus empruntés
à la bibliothèque de Lectoure et l’on se dit que… Dieu merci !
labourage et pâturage ont encore de beaux jours devant eux.

08/01

Fnac Paris

Entre le Christ et les pachydermes

Une couverture qui m’en rappelle un autre

Ceci est un combat (Muhammad Ali/RockyMarciano) qui n’a jamais eu lieu.
Son compte-rendu figurera dans la rubrique « Virtuel » 
de Mille et une reprises, Editions Grasset, parution 2018

06/01

Lorsque l’on s’appelle Daniel Pennac, on a un seul devoir : ne PAS écrire.

Et de deux

05/01

La première réaction est tombée

« Je sens bien que le style est en disgrâce, ça fait académique, composition française », Régis Debray interviewé par Richard Millet dans le numéro de novembre de La revue littéraire (Léo Scheer). Dites-moi les brocs, de quel style s’agit-il : Henri III ? Louis Philippe ?

Charles Dantzig est l’invité permanent de la revue Transfuge dont la rédactrice en chef littérature est Oriane Jeancourt Galignani, et bien, bizarrement, Oriane Jeancourt Galignani publie un livre dans la collection (le courage) dirigée par Charles Dantzig chez Grasset.

Et moi, pendant ce temps, je fais la connaissance de Billy Conn, un styliste irlandais follement sympa, par ailleurs assez courageux, que l’on peut voir ci-dessous après son combat victorieux contre Fred Apostoli (un copain de Joe DiMaggio)… on voit que je suis loin de ces préoccupations préoccupantes sans m’en désintéresser tout à fait.

Si vous voyiez l’autre…
un dénommé Fred…
même sa mère l’a pas reconnu !

01/01/2017

On y vient

Tôt ou tard

Pour ceux qui ont la flemme de descendre jusqu’au 06/01/2014 (et qui sont myopes)