AU JOUR LE JOUR
2016

Actualités
(quatrième trimestre)

31/12

Dix ans, ça suffit !
Nichons ou pas, « Au jour le jour » s’arrête.
 D’autres chapitres de ce site 
(art & littérature notamment)
continuent…

30/12

CE WEEK-END

EN DECEVRA CERTAINS

28/12

Desplante by
Buddy Baer
in Quo Vadis

27/12

On se fout de la gueule des Amerloques sous prétexte qu’ils ont élu un dingo alors que nous serions, soi-disant, disposés à élire un nigaud.

Feuilleté un entretien Karl Lagerfeld/Daniel Cohn-Bendit dans Vogue. Je trouve Lagerfeld beaucoup plus à gauche, en tous les cas drôlement plus intéressant que « Dany ».

26/12

Comme disait Arthur :

« C’était le futur ! »

J’avoue, j’ai quelquefois des préjugés qui me coûtent cher, mais je me soigne. Ainsi, je ne sais pourquoi, j’avais des préjugés vis à vis de l’égard de Macron (Emmanuel) comme ma grand-mère à l’endroit de la margarine avant d’avoir essayé Astra ! Et bien, comme ma grand-mère, j’ai changé d’avis. Je me suis renseigné, je l’ai écouté, j’ai consulté son compte Twitter et j’ai changé d’avis comme ma grand-mère. Ce que dit ce garçon est foutrement intéressant, il défend quantité de propositions neuves dont beaucoup sont des idées singulières, mais néanmoins pertinentes.
Exemples : « Chacun est libre de croire ou pas », « Il faut un Erasmus de l’apprentissage », « Il faut financer les formations qui offrent des débouchés », « Il faut recréer la police de proximité », « Libérer le travail, c’est réduire le coût de travail pour l’employeur », « Le rôle de tous les enseignants, c’est de faire aimer le pays », « Je crois que la loi ne peut pas tout définir ».
Sans oublier : « Joyeux Noël à tous ! »

C’est astra !

On avance, on entre enfin dans ce siècle pourtant bien entamé.

Et comme la maison ne recule devant aucun sacrifice

une dernière pour la fin

24/12

CE WEEK-END

ON DIALOGUE

23/12

Je ne sais pas pourquoi, mais Emmanuel Macron me fait penser à Edouard Louis Peut-être simplement parce que l’un est à la politique ce que l’autre est à la littérature et qu’ils me semblent être, tous les deux, des imposteurs.A propos d’imposteur, j’ai lu une interview de Serge Simon, le nouveau vice-président de la F.F.R dans Sud-Ouest Dimanche, il correspond tout à fait à ce qu’aux Etats-Unis, on appelle un « fake ».

Encore heureux, je viens de faire connaissance
d’
Adam Sutton, ex- adversaire de « Butterbean« ,mais néanmoins nouveau prêtre.

17/12

CE WEEK-END

ON RECUPERE

15/12

Macron… quand même, c’est pas possible.

Revu Rocco et ses frères et Raging Bull (because chantier en cours, livraison 2018)… évidemment, ce ne sont pas des mauvais films, évidemment, ils ont à voir avec l’opéra et le mélodrame plus qu’avec le documentaire, mais je trouve toujours qu’ils sont beaucoup moins bons (l’effet noir et blanc y est pour beaucoup… noir et blanc, attention, chef d’œuvre !) qu’on ne le répète un peu automatiquement et que les scènes de boxe (encore davantage chez Scorcese) sont à peine plus crédibles que celles filmées par Stallone (rital too).
L’usage du ralenti dans Raging Bull m’apparaît toujours comme aussi obscène et même carrément immoral. Les dialogues de Rocco et ses frères sont tout de même un peu gênants. Il me semble que les deux peuvent se rattacher à une certaine esthétique pompier à laquelle je ne suis pas réellement sensible.
D m’a fait remarquer que la scène de la dispute entre LaMotta et sa première femme à propos de la bouffe au tout début du film ressemble beaucoup (en l’inversant) à la scène entre Stacey Keach et Susan Tyrell dans Fat City que je continue à préférer aux autres « films de boxe ».

En prime, une photographie de Jack Johnsonque je ne connaissais pas,
prise lors d’une exhibitiondont je ne savais pas qu’elle avait eu lieu
avec Victor McGlaglen
19 combats, 11 victoires, 6 défaites, un nul, un no-contest
et quelques films…

12/12

PRIMAIRES A GAUCHE

L’ambiance est bonne

10/12

CE WEEK-END

ON SUPPORTE

08/12

Jacques Attali vérifie un point de détail

07/12

Les feuilles tombent

Bientôt les fêtes

Un peu bizarre de regarder la scène du massacre d’Inglorious Basterds après celui du Bataclan, non ?

La plaie, c’est les sociologues.

05/12

Après s’être pris la branlée que l’on sait, Alain Juppé déclare : « Je suis passé à autre chose »… ben oui, à la trappe ! Ce qui est le plus terrible dans son cas, c’est qu’il a perdu en défendant des valeurs qui ne sont pas les siennes, en les abandonnant à un rival s’obligeant (sans trop forcer) à les incarner, dans un style qu’il abhorre… multi-culti cool.

A gauche, une seule alternative :
DSK !

03/12

CE WEEK-END

ON BOIT CHAUD

01/12

Les électeurs de François Fillon sont vieux, riches et diplômés, les électeurs de Donald Trump sont blancs, pauvres et ignorants… oui, bon, d’accord ! et alors ?

30/11

TOUT SERA COMME AVANT !

Franchement, l’élection de ce type à la Présidence
arrangerait tout le monde, à droite comme à gauche


29/11

Aude Lancelin c’est tellement Bécassine découvre la lune que je me demande s’il est vraiment possible qu’elle soit aussi couillonne.Ces temps derniers, elle se prend pour Rosa Luxembourg tout en se demandant pourquoi le Nouvel Observateur ne lui consacre pas sa une… je crois qu’elle est folle ou alors idiote ou folle ou idiote ou folle ou idiote… peut-être faudrait-il un dialecticien du calibre d’Alain Badiou pour trancher. J’en suis loin.Je me suis longtemps servi des Inrockuptibles comme prescripteurs inversés… plus ils plébiscitaient un génie des alpages (Djian/Despentes/Darrieusecq, etc), plus je savais que c’était une terrible nullité, je dois avouer que, musicalement, politiquement, idéologiquement, c’était la même limonade, ça marchait à tous les coups. Lorsque l’on feuillette des numéros un peu anciens, c’est un feu d’artifice… jusqu’à présent, à mes yeux, « La fin de l’Amérique blanche », une interview de Sylvain Cypel (journaliste au Monde et « spécialiste des Etats-Unis ») datée du 2 novembre, tenait la corde, mais depuis, j’ai trouvé un billet dur de Christophe Conte du 21 octobre 2015 à propos de François Fillon où l’on peut lire : « […] si je puis me permettre, les yeux dans les yeux, un commentaire, tu te fatigues pour pas grand chose, tes chances d’être élu président un jour étant aussi minces qu’un rapport d’Arno Klarsfeld sur la francophonie ».
Prophète, c’est vrai, des fois, c’est dur !

26/11

CE WEEK-END

ON LIQUIDE

24/11

La cause du peuple, hier
Révolution, aujourd’hui,
on sent bien que ça frémit…

22/11

21/11

Les résultats de cette primaire me conviennent d’autant moins qu’en vieillissant, j’ai tendance à ressembler physiquement à Juppé (ce qui ne me convient pas davantage)

14/11

Ces temps derniers, certains constatent que nos mœurs se rapprochent dangereusement de celles des Bonobos, peut-être ne nous en étions, tout simplement, pas très éloignés.

11/11

Le sabre & le goupillon
(et les pompiers fluo)

Aujourd’hui, commémoration du 11 novembre à Lectoure (Gers) : dépôt de gerbes/anciens combattants/autorités municipales/pompiers/enfants des écoles/sonnerie aux morts/officiers de gendarmerie (en uniforme) et curé (en soutane) coude à coude/Marseillaise a capella… on comprend mieux que mon voisin Renaud Camus de Plieux (Gers) craigne le grand remplacement.

Pour ceux qui penseraient que l’humour dont je fais constamment preuve est issu de l’opération du Saint Esprit,
je signale que mon grand père (maternel) a perdu sa jambe ici, dans un village qui n’existe plus et qui s’appelait… Perthes !
(mais qu’est-ce qu’il allait branler là ? on peut se le demander)

Comme dans les contrats d’assurance,
il faut toujours lire les petits caractères

10/11

C’est sûr que, par certains aspects,
  ce n’est pas vraiment rassurant.

09/11

Et tout le monde y va de son analyse (avoir raison d’avoir eu tort), et tout le monde y va de son indignation (continuer d’avoir raison d’avoir encore tort)… des fois c’est juste (la cible est tellement large qu’on ne peut pas réellement la rater), des fois, c’est drôle (« Tapie reviens ! », « Il a pris l’Amérique par les chats« ), mais, comme toujours en ces occasions (qui ne demandent qu’à se renouveller sous des cieux plus proches des nôtres), ça essaie de se distinguer (« Les gens sont cons ! Qu’est-ce qu’ils sont cons, j’ai peur ! ») au lieu de s’impliquer (« Qu’est ce que j’ai fait pour admettre ça ? »). La réaction la plus sensée que j’ai pu lire à l’occasion de l’élection d’une fausse moumoute laquée à la présidence des Etats-Unis d’Amérique est celle de Patrick Chamoiseau : « Il faut l’abattre en nous, dans nos imaginaires ».
On ne saurait mieux dire.
J’ajouterai (pour (dé)plaire)) juste une chose (dés)agréable Ô combien ! (s’il y a une personne dont je suis « virtuellement » amoureux, c’est bien d’elle), tout ça n’est-il pas de la faute de Michelle Obama (et de son Fred Astaire de mari) ? Avoir transporté l’exercice politique du pouvoir dans le monde de la variété, serait-ce avec talent, ne menait-il pas – tout droit – à l’affrontement de « White Trash » et de « Black Soul » ?
Et, jusqu’à preuve du contraire, c’est qui les plus nombreux ?

Michelle’s boobs ?
Piercing or not piercing ?

Je ne voudrais pas, systématiquement, faire le malin, mais il me semble qu’il fallait beaucoup plus de courage à Nicolas Sarkozy pour nommer Rachida Dati (authentique caillera) ministre de la Justice qu’il n’en fallait à Tahar Ben Jelloun pour attribuer le prix Goncourt à Leïla Slimani.

08/11

A 12 heures 50, Daniel Cohn-Bendit déclare sur France Culture : « On peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre ; cinq minutes après, il qualifie Emmanuel Macron de libertaire…

et les seins de la jolie crémière, alors…
qu’est-ce qu’on en fait ?

ENFIN

ma première traduction, en librairie le 3 janvier

07/11

Depuis Ida, je m’emmerde au cinéma.

Vu La femme inconnue… le scénario ne tient pas debout, le propos est lourdingue à souhait, ça fait penser à de l’André Cayatte middle of the road bien plus qu’à du Ken Loach bas-de-gamme. Le problème majeur étant que l’on n’arrive jamais à croire qu’Adèle Haenel est médecin alors qu’elle figure sur à peu près tous les plans (avec son téléphone portable) ; le problème annexe, plus ennuyeux pour cette jeune femme : à force de la faire jouer « pareil » (butée, morose, brusque, maussade), on en fait une caricature d’elle même qui ne peut jouer que les personnages butés, moroses, brusques, maussades.

On ne voyage plus au bout de la nuit, on s’y balade.

Les canettes de 8.6 sur les étagères du frigo comme les balles dans le barillet.

05/11

CE WEEK-END

ON SE PREND POUR LE MESSI

04/11

Catherine Cusset a le même genre de laideur attirante que Marie-Claude Beaud, hier.

Marie-Claude Beaud aujourd’hui

03/11

Marie Lopez dite Enjoy Phenix  est née le 18 mars 1995 à Paris d’une mère hôtesse de l’air et d’un père steward. En 2013, elle obtient son baccalauréat littéraire. Deux ans plus tard, elle publie son premier livre qui dépasse les 200 000 exemplaires, son deuxième Carnets de route est actuellement 26ème sur la liste des meilleures ventes d’Amazon.

Le pognon, c’est tout droit !


Leïla Slimani est née le 3 octobre 1981 à Rabat. Son père, mort en 2004, était un économiste, banquier et haut-fonctionnaire marocain, sa mère est médecin ORL, son mari est banquier. Elle est diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris. Après un passage au Cours Florent, elle a complété ses études à l’ESCP Europe. Après un stage à l’Express, elle est engagée au magazine Jeune Afrique. En 2014, après un atelier d’écriture (1 500 €) sous la direction de Jean-Marie Laclavetine, elle a publié son premier roman aux éditions Gallimard, son deuxième livre vient d’obtenir le Prix Goncourt.

Dans l’euphorie suivant ce genre d’heureuse surprise,
Leïla Slimani vient de déclarer au Huffington Post : »La question de la lutte des classes est très présente dans mon livre »

Donc, évidemment, Le Monde titre :
« Un Goncourt à rebours des clichés »

Aude Lancelin est née en 1973 à Tours. Ancienne élève des classes préparatoires du lycée Henri IV, elle obtient son agrégation de philosophie avant d’entrer à l’ESCP Europe. Engagée en 2000 par le Nouvel Observateur, elle rejoint Marianne en 2011 avant de revenir à l’Obs en 2014 dont elle est licenciée en 2016. Compagne de Frédéric Lordon, elle vient d’obtenir le Prix Renaudot essai présidé cette année par Patrick Besson, éditorialiste au Point.

Les issues de secours, à droite et à gauche !

01/11

Ne jamais faire confiance à un type âgé de plus de quarante ans muni d’un catogan, d’un tatouage ou d’une boucle d’oreille. En règle générale, c’est un con !

Si l’on en revient à cette histoire de Prix Nobel attribué à tort et à travers à Robert Zimmerman (anti-Trump s’il en est comme Dario Fo était anti-Berlusconi) le véritable scandale n’est pas à ce que l’on en a dit jusqu’à présent (il chante faux, il écrit mal, Philip Roth lui est infiniment supérieur), mais à ce que l’on devrait en dire : c’est une erreur fondamentale de considérer la littérature à l’aune d’un principe qui lui est étranger : la reconnaissance. On va en souffrir dans les semaines à venir.

15/10

CE WEEK-END

ON BOUQUINE

14/10

Dernière minute : Michel Cymes, Prix Nobel de médecine ; Adriana Karambeu, Prix Nobel de la paix.

Et pour le coup, elle a droit à un bis !

13/10

Quelquefois, on est invité à un baptême… en fait, c’est un enterrement et on a oublié la gerbe !

Bob Dylan, Nobel de littérature, c’est génial ! Ce n’est vraiment pas un excellent poète (personnellement, je regrette que Michel Delpech n’ait pas été distingué avant qu’il ne meure), c’est la porte ouverte au merdier post-moderne (inauguré par Dario Fo, qui – du coup – en est claqué… il a écrit quoi Dario Fo ?), mais c’est génial quand même… putain, les cons ! ils en avaient fumé de la bonne. Tout un tas de niais protestent, en appelant à la vraie littérature (c’est quoi ?) et aux vrais écrivains (c’est qui ?), ils feraient mieux d’écouter Bob chanté par un autre.
Il y a aussi ceux qui se prennent la chèvre et le chou sans même savoir si Bob va l’accepter.
Pour être clair, je donne tout Modiano (Nobel incontesté) pour Blonde on Blonde et je suis ravi que Don DeLillo l’ait dans le cul.

12/10

Aude Lancelin (fan d’Alain Badiou… mon Dieu, est-ce possible ?) fait tout un ram-dam (et un livre où elle découvre la lune par la même occasion) depuis qu’elle a été licenciée du Nouvel Obs’, je ne me souviens pas qu’elle ait élevé la moindre protestation après que je l’ai été ; en revanche, elle n’a jamais cessé de me jeter des regards en coin chaque fois que nous nous sommes croisés, regards étonnés qu’une difformité corporelle ne désigne pas (ou ne vienne pas punir davantage) ma difformité intellectuelle.

11/10

François Mitterrand
Lettres à Anne (1962-1995)
Journal pour Anne (1964-1970)
Gallimard (2016)

On nage dans le kitsch, on se noie dans l’obscène
et les « chiens » se roulent dans la charogne

10/10

Vu (gratis, en avant-première… à Lectoure !) Corniche Kennedy de Dominique Cabrera d’après le roman (éponyme) de Maylis de Kerangal. Des fois on peut faire un mauvais film avec un bon livre ou alors un bon film avec un mauvais livre et puis, des fois, on fait un mauvais film avec un mauvais livre. C’est le cas.

En revanche, je trouve toujours aussi émouvant
le visage de Françoise Lebrun
(et qu’elle fume des roulées aussi)

05/10

Vu Nocturama. Il est un proverbe d’atelier qui dit : « Si tu sais pas faire, fais grand », à la Femis, on doit leur dire : « Si tu sais pas faire, fais lent »… Une demi-heure à suivre une troupe assez improbable jouer au portable dans le métro, ça fait long l’introduction. Le scénario ne tient pas debout, il repose sur une incohérence majuscule (après avoir commis des attentats minutieusement préparés, la joyeuse bande se planque de nuit dans un grand magasin !) telle que l’on se demande s’il s’agit du même film… Les motivations des jeunes gens sont aussi confuses (pourquoi pas ?) que le regard de Bonello (problème !), il faut quand même être perché pour imaginer que des natifs du 9.3 vont s’allier à un étudiant à Sciences-po pour faire sauter le ministère de l’Intérieur (Tarnac, c’est tous des bourges) ! Les scènes se succèdent, mais elles viennent toutes comme un cheveu sur la soupe… allez hop ! cauchemar (le « c’était un rêve de nos rédactions) et l’un des comédiens revient en spectre, sans doute pour compléter ses heures d’intermittence.
En gros et en détail, c’est n’importe quoi filmé et joué correctement, enfin… presque, Haenel est nulle (alors que, d’ordinaire, elle ne l’est pas) !
Passons sur la citation des Damnés, à son propos tout de même : plein le cul de la musique à fond la caisse qui nous montre quoi penser et quoi ressentir ! Lamentons nous plutôt de l’irruption de Luis Rego & Madame semblant touts droits sortis du Père Noël est une ordure (mépris de classe absolu).
Lamentable !

A part ça :
Jacques Noël
(Un regard moderne)
est mort
et ça c’est con !

04/10

Claro écrit que les listes des prix littéraires lui font penser à des « pense-bêtes », il doit vouloir dire des  « panse bêtes ».

Les loups, hou !
Les loups sont entrés dans Paris
Soit par Issy
Soit par Ivry
Les loups sont entrés dans Paris

Putain, je ne sais pas si Akim & Karim, mes copains vont attendre l’Aïd pour se taper les tondeuses à gazon d’Hidalgo… j’ignore s’ils vont pouvoir se retenir, en tous les cas, ils vont se régaler.

Vu Comancheria : mou, mou, si mou, mais il y a Jeff Bridges ;
Victoria : si Virginia Efira est aussi bonne qu’on ne nous le répète, je me demande que penser de Gena Rowlands dans Une femme sous influence ;
Juste la fin du monde
 : Léa Seydoux se mouche en permanence, Gaspard Ulliel a deux expressions : jambon de Paris et jambon blanc (au choix), Nathalie Baye croit qu’elle joue dans La famille Adams,  Vincent Cassel braille à peine on lui adresse la parole, Marion Cotillard confirme (haut la main) son titre de plus mauvaise actrice du monde et le petit oiseau à peine évadé du coucou suisse où il était planqué s’écrabouille la tête contre les murs. Grotesque.

CE WEEK-END

ON SE CULTIVE